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Lexique Internet

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SSL
SERVLET
SHAREWARE
SMS
SIGNETS, FAVORIS
SMTP
SKYSCRAPER
SMILEYS
SSII
SPAM
SPYWARE
START-UP
STREAMING

 
SSL
Secure Socket Layer
Protocole permettant la transmission sécurisée de formulaires dans le Web, notamment lors des transactions commerciales en ligne, nécessitant l'utilisation d'une carte de crédit. Défini par Netscape, il utilise l'algorithme à clé publique RSA, et a pour objectif d'assurer l'authentification, la confidentialité et l'intégrité des données échangées.

SERVLET
Programme Java qui s'exécute dynamiquement sur le serveur Web et permet l'extension des fonctions de ce dernier, typiquement : accès à des bases de données, transactions d'e-commerce, etc. Un servlet peut être chargé automatiquement lors du démarrage du serveur Web ou lors de la première requête du client. Une fois chargés, les servlets restent actifs dans l'attente d'autres requêtes du client.


SHAREWARE
Partagiciel
Logiciel sur lequel le programmeur conserve ses droits d'auteur, distribué gratuitement à l'essai et pour lequel on doit verser une certaine somme en cas d'utilisation durable. Les partagiciels, comme disent les Québécois, sont habituellement distribués en version limitée, afin de susciter l'envie d'acquérir une version plus complète ou plus évoluée. Ils sont souvent disponibles par les réseaux, par Internet ou par les babillards électroniques.


SMS
Short Message Service
Service que peut offrir un système de communication sans fil, permettant aux usagers d'envoyer ou de recevoir des messages alphanumériques courts (autour de 160 caractères), qui s'affichent à l'écran de leur terminal mobile, généralement un téléphone portable.

SIGNETS, FAVORIS
Bookmarks
Marque-page virtuel, généralement constitué d'un fichier HTML, mémorisant l'adresse d'un site sélectionné par l'internaute. Les
signets ne sont pas toujours compatibles d’un logiciel à l’autre, cependant la conversion est en général possible. Des utilitaires spécialisés aident à gérer les signets : ils peuvent les centraliser quel que soit le logiciel d’origine ou s’assurer de la validité des liens. Enfin, en recourant aux sites web qui permettent de stocker une collection de signets en ligne on pourra les avoir sous la main, où que l’on se trouve. NB : Pour se démarquer de Netscape du temps de la guerre des navigateurs, Microsoft a baptisé les signets d’Internet Explorer des “favoris“. Cependant, le service est en tout point similaire.

SMTP
Simple Mail Transfer Protocol
Protocole standard régissant les transferts de courrier électronique sur Internet. Il définit le format du courrier et de l'agent de transfert (MTA pour Message Tranfer Agent) qui permet de mémoriser et de transmettre le message. A l'origine,
SMTP a été conçu pour des messages comprenant uniquement du texte (caractères Ascii); mais MIME et d'autres méthodes d'encodage permettent d'attacher des programmes et des fichiers multimedia au message. Un serveur SMTP fait parvenir les messages à des serveurs de réception, souvent POP3, qui les stockent en attendant que les utilisateurs les téléchargent.

SKYSCRAPER
Format publicitaire sur Internet s'inscrivant dans une colonne étroite sur toute la hauteur d'un écran d'ordinateur, le plus souvent sur la droite des sites. La dimension du format standardisé par L'IAB américain est de 120x600 ou 160x600 pixels.
SMILEYS
Emoticons
Pictogrammes couramment utilisés sur Internet pour exprimer les émotions. Ces symboles qui représentent la plupart du temps un visage stylisé sont composés d'une suite de caractères à lire la tête penchée sur le côté gauche. Ils tirent leur nom du plus célèbre d’entre eux : un sourire qui, mieux qu’un long discours, souligne le caractère amusé d’une assertion : ;-). Changez le sens de la parenthèse et vous obtenez l’expression du mécontentement, substituez-lui le caractère “p“ et le personnage tire une langue moqueuse… Exprimer un sentiment ou une émotion par écrit relève de la gageure, en particulier dans ce cadre où l’on rédige vite et bien souvent, dans un anglais approximatif. En outre, la diversité culturelle qui règne sur le réseau des réseaux ne favorise pas la bonne compréhension mutuelle. Partant du constat qu’il est quasiment impossible de restituer la tonalité d’un discours amusé, perplexe ou encore agacé dans un e-mail, les internautes de la première heure ont recouru au seul mode de communication vraiment universel : l’image. La plupart des services Internet ne s’utilisaient à l’origine qu’en mode texte, le seul moyen pour agrémenter un propos de symboles graphiques étaient donc de composer des pictogrammes à partir des caractères de base : deux trois signes de ponctuations, et les smileys était nés.

SSII
Société de services et d'ingénierie en informatique
Société spécialisée dans les prestations de service dans le domaine informatique. Ces prestataires, dont le développement s'est très nettement accéléré dans les années 1970, exercent tout d'abord des activités d’étude et de conseil en matière de systèmes informatiques, tant en ce que concerne les matériels, les logiciels, les progiciels et les réseaux. Il peuvent être impliqués dès le départ d'un projet, s'associer à sa réalisation en fournissant des équipes de développement, et en assurer le contrôle qualité. Les
SSII peuvent être spécialisées par compétences techniques (réseaux et télécoms, informatique industrielle, gestion, etc.) ou par secteur économique (banque, distribution, etc.). Les plus importantes d'entre elles (Cap Gemini qui a acheté la société de conseil Ernst & Young, Unilog, Steria, Syseca,...) sont capables d'aborder tous les domaines techniques dans tous les métiers. Près de 80% des SSII françaises sont regroupées au sein d'une chambre syndicale, Syntec Informatique, qui représente 192 000 collaborateurs répartis dans 450 groupes et sociétés membres. L'appellation SSII a succédé au début des années 1980 à celle de SCSI (société de conseil et de service informatique) sans doute pour éviter la confusion avec la norme SCSI (Small Computer System Interface).

SPAM
Courrier électronique commercial non sollicité par l'internaute qui le reçoit. Cette pollution de boîtes aux lettres, pratiquée par les "spammers" ou spammeurs, arrive en tête des pratiques les plus critiquées par les internautes. Egalement appelé au Québec polluriel, contraction de courriel pollueur. P.S. : Le terme spamming viendrait de la marque commerciale Spam, sigle de l'expression anglaise Shoulder of Pork and hAM (viande en conserve).
SPYWARE
Logiciel espion
Logiciel espion qui renseigne un serveur sur les habitudes de navigation, voire de consommation, d'un internaute sur le Web. Ce recueil et cette transmission d'informations indiscrètes sont effectués évidemment à l'insu de l'intéressé. Généralement, ces logiciels sont réalisés à partir d'éléments que l'on télécharge sur le Web. Ils ne sont pas détectables par l'internaute et ne peuvent être désinstallés. Parfois, les contrats de licences des logiciels, que l'on accepte généralement sans les lire jusqu'au bout, indiquent que des informations pourront être recueillies de manière anonyme pour élaborer des profils marketing de consommateurs sur le Web. On veut comprendre en particulier pourquoi les amateurs du site A visitent volontiers un site B. A bon entendeur...

START-UP
Jeune entreprise, ayant moins d'une année d'existence, promise à une croissance forte et rapide. Pour être considéré comme start-up, il faut avoir réalisé au moins un tour de financement extérieur. A l'origine, le statut de start-up s'appliquait exclusivement aux entreprises technologiques dont une innovation majeure permettait de parier sur un développement rapide. Entre 1998 et 2000, Internet a permis d'étendre le concept à toutes sortes d'entreprises se réclamant du Web : éditeurs, marchands, prestataires de services... Dans de nombreux cas, cette appellation s'est révélée abusive.

STREAMING
Diffusion de contenu audio ou vidéo en continu, au fur et à mesure du téléchargement du fichier. L'utilisateur n'est pas obligé de télécharger entièrement un fichier pour l'écouter ou le visionner car la lecture commence dès le début du chargement. Note : en français, on peut utiliser l'expression "lecture en continu" lorsqu'on adopte le point de vue du serveur qui transmet le contenu multimédia en un flot continu (stream), et l'expression "lecture en transit" lorsqu'on adopte le point de vue du poste client, sur lequel les données sont exécutées, au fur et à mesure du téléchargement d'un fichier.

 
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